jeudi 29 décembre 2011

Je contrepète si je veux.

C'est noël.

Parés de nos habits qui clignotent, nous continuons d'injecter moult hormones chimiques à Gavroche qui ne sait pas croître tout seul, sous l'oeil desséché du conifère moribond et néanmoins maquillé comme une pute estonienne.

Faut pas confondre sapin qui pique du nez et sapé qui pique du nain.




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